111, Wooster Street, Soho, New York.
Depuis Soho, le poète nous invite à une promenade dans cette ville qui rêve debout. Chacun des poèmes est un tableau, un point de repère, une sorte de guide trépidant à la démesure de la Ville. Mais dans ces chroniques newyorkaises où défilent rues, monuments, gratte-ciel, bars, restaurants... c'est le cœur en quête de l'Autre qui ausculte, non sans,danger et souffrance, les affaires de la Cité à propos desquelles un de ses plus célèbres habitants, Woody Allen, a dit: «C'est peut-être les poètes qui ont raison, c'est peut-être l'amour qui est la seule réponse...»
Audacieux, sensibles, remplis d'humour, de sensualité et d'érotisme, ces poèmes dégagent une force qui investit l'imaginaire et le hantent de leur magie.
Bienvenue donc au 111, Wooster Street, mais soyez prévenus: à vos risques et périls...
Jean-Paul Daoust, 111, Wooster Street (poésie), Montréal : VLB, 1996, 145 p.
ISBN : 2-89005-627-9 (br.)